Biscuit chinois

Mes enfants ont reçu une boîte de biscuits chinois (fortune cookies, en bon québécois). Chaque jour (ou presque) j'en mange un pour y lire mon destin (ou mon passé - c'est pareil selon Freud): «Vous n'hésitez jamais à vous attaquer aux problèmes les plus compliqués»

Commentaire: j'ai enfin démêlé une transaction amorcée début décembre, que je croyais morte en janvier et qui se conclue... aujourd'hui (ou presque) en février. Tout avait commencé comme d'habitude: offre d'achat, contre-proposition, contre-contre-proposition, négociation, renonciation, résurrection... jusqu'à l'entente finale... qui n'a pas vue le jour, ou plutôt, qui ne s'est pas concrétisée. En effet, la banque (les banques, dois-je préciser), dans leur gourmandise maintenant coutumière, exigeaient une trop grande mise de fonds.

Je résume la suite pour ne pas ennuyer le lecteur et pour sauter par-dessus les multiples intervenants hypothécaires et quelques négociations tardives pour me retrouver en février avec une entente à la faveur de toutes les parties.

Voilà; il ne faut pas lâcher la partie. Quelle qu'elle soit.

Cela dit, c'était, pour reprendre les termes de mon «biscuit de fortune», un problème compliqué. Content que ça finisse bien.



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